« L’artiste n’a pas la prétention de nous raconter “Tristan” ou “ Le Vaisseau Fantôme ”. Non seulement, il ne raconte pas, mais il se situe au-delà du drame. Le peintre a dépassé l’accidentel. (…) Ce qui reste du choc musical, c’est l’extase. Le limon du drame, de la passion, de la mort, c’est le sourire ambigu du rêve. Cette peinture d’après la musique, je l’appellerais volontiers peinture “après” la musique. »